. Parfois, elle en donne à Cookie et la pauvre ne fait que de galoper pour calmer la démangeaison de ses sabots. Bon, ma fille, tu parles, tu parles, et tu nous retardes.
Dehors pendant ce temps-là la sœur qui tournait en rond en insultant Dieu de ne pas lui montrer sa route se retrouvait à nouveau derrière la soucoupe.
Elle était devant l'entrée et elle écoutait des voix.
- Bon, sœur Mathilde, sors le taser, j'ai comme l'impression que l'un des robots est revenu à lui.
Le Pépère prit la décision de sortir de la soucoupe avec cette peau synthétique pour l'examiner en pleine lumière.
Est-ce la sœur les reconnaîtrait avant qu'ils n'aient tous reçut un coup de taser dans les moustaches ?
Lolo fut le premier à sortir et la sœur en plein délire apparu face à lui.
- Alors, sale robot, tu pensais que déguisé en Lolo, je ne te reconnaîtrais pas, tiens, saligaud prend ça dans les moustaches.
Elle appuya sur la gâchette du taser où Pépère apparut derrière Lolo qui n'eut que le temps de se pousser sur le côté.
Il déviait ainsi la direction du taser et la sœur s'envoyait elle-même une décharge dans le pied.
Sous le coup de la décharge, ses cheveux se retrouvaient à la verticale sur sa tête et se colorèrent légèrement en rose avant d'émettre un petit nuage de fumée.
Ensuite, elle partit sur le côté et titubait comme si elle était ivre.
Elle disait des phrases sans aucune cohérence.
- Notre taser qui êtes odieux
Si seulement tu pouvais, ma foi,
Calmer l'ardeur du pieu
De celui qui a le foie
Au cours bouillon
D'être avec sa blonde
Et moi, j'ai des oignons
Car la terre est bien ronde.
Puis elle revint où elle était et fut prise d'un malaise.
- Que fait-on mon papa, la sœur est évanouie ?
- Pépère, regarde ce qu'elle a, vite fait quelque chose.
- Oui, voyons voir ça nous autres.
Il regardait sœur Mathilde et prit son pouls. Puis il se rendit compte qu'elle sommeillait légèrement.
- Pas d'inquiétude, elle a accusé le coup et s'est évanouie, elle va dormir un moment et nous reviendra comme si de rien n'était.
Bon par contre ses cheveux resterons rose, ça, c'est certain.
- Tu es sûr de ça Pépère ?
- Bien sûr, Lolo, j'ai une licence en cheveutologie alors, je connais ce problème, ce n'est pas méchant.
C'est comme mon curé qui se paie une teinte entre le blond du blé scandinave poussant au Mozambique et au brun du radis noir russe planté en Corse de l'équateur.
- Ha oui, tout de même mon papa.
- Oui, ma fille excuse moi ces précisions un peu longues, mais elles ont pour but de te déterminer la couleur exacte de ses cheveux.
Donc, avec un tel étalage d'option dans cette définition, tu sais parfaitement leur couleur.
Oui, un ton très spécial comme celle d'un homme né en mille huit cent soixante-dix-sept.
Oui, n'écoute pas ce que raconte mon tournevis soudanais pour fusée en kit Ukrainienne, il ment sur son âge.
Il fait partie de ces êtres qui vivent entre cent cinquante à cent quatre-vingts ans. Étant donné que la science ne sait toujours pas si ce sont des humains où des extraterrestres à cent ans l'administration les fait naître à nouveau.
Oui, ce fut le cas de mon irradié de la rotule travaillant dans une centrale vinuléaire chinoise pour courant Breton.
Oui, c'était suite à une visite chez le médecin. À l'époque, il ne mangeait que de la cuisine aux ondes qu'il faisait cuire dans un four micro-ondes.
Matin, midi, soir, quatre-heures, nuit, entre-nuit, jour, mi-jour, déjeuner, etc., il se cuisinait des ondes agrémentées d'une pincée de watts et une cuillère de volt de Dijon.
À force il était devenu électrique, et même tellement chargé en courant qu'il aurait pu servir de centrale pour alimenter une ville comme Taïwan ou New-York.
Pour se décharger, il parlait à l'orage et serait la main des éclairs. Ce fut ainsi qu'un jour qu'en parlant à son voisin celui-ci lui conseillait d'aller chez le médecin.
Celui-ci l'accueillit en lui disant bonjour jeune homme, que puis-je pour vous ?
Il expliquait son problème au spécialiste des globules bleu examiné par un laborantin d'occasion du grattez moi là.
Bon, je vois depuis combien de temps mangez vous des ondes.
Mais où Pépère voulait-il en venir encore une fois avec cette étrange histoire de cheveux et d'âge.
La suite demain...
Dehors pendant ce temps-là la sœur qui tournait en rond en insultant Dieu de ne pas lui montrer sa route se retrouvait à nouveau derrière la soucoupe.
Elle était devant l'entrée et elle écoutait des voix.
- Bon, sœur Mathilde, sors le taser, j'ai comme l'impression que l'un des robots est revenu à lui.
Le Pépère prit la décision de sortir de la soucoupe avec cette peau synthétique pour l'examiner en pleine lumière.
Est-ce la sœur les reconnaîtrait avant qu'ils n'aient tous reçut un coup de taser dans les moustaches ?
Lolo fut le premier à sortir et la sœur en plein délire apparu face à lui.
- Alors, sale robot, tu pensais que déguisé en Lolo, je ne te reconnaîtrais pas, tiens, saligaud prend ça dans les moustaches.
Elle appuya sur la gâchette du taser où Pépère apparut derrière Lolo qui n'eut que le temps de se pousser sur le côté.
Il déviait ainsi la direction du taser et la sœur s'envoyait elle-même une décharge dans le pied.
Sous le coup de la décharge, ses cheveux se retrouvaient à la verticale sur sa tête et se colorèrent légèrement en rose avant d'émettre un petit nuage de fumée.
Ensuite, elle partit sur le côté et titubait comme si elle était ivre.
Elle disait des phrases sans aucune cohérence.
- Notre taser qui êtes odieux
Si seulement tu pouvais, ma foi,
Calmer l'ardeur du pieu
De celui qui a le foie
Au cours bouillon
D'être avec sa blonde
Et moi, j'ai des oignons
Car la terre est bien ronde.
Puis elle revint où elle était et fut prise d'un malaise.
- Que fait-on mon papa, la sœur est évanouie ?
- Pépère, regarde ce qu'elle a, vite fait quelque chose.
- Oui, voyons voir ça nous autres.
Il regardait sœur Mathilde et prit son pouls. Puis il se rendit compte qu'elle sommeillait légèrement.
- Pas d'inquiétude, elle a accusé le coup et s'est évanouie, elle va dormir un moment et nous reviendra comme si de rien n'était.
Bon par contre ses cheveux resterons rose, ça, c'est certain.
- Tu es sûr de ça Pépère ?
- Bien sûr, Lolo, j'ai une licence en cheveutologie alors, je connais ce problème, ce n'est pas méchant.
C'est comme mon curé qui se paie une teinte entre le blond du blé scandinave poussant au Mozambique et au brun du radis noir russe planté en Corse de l'équateur.
- Ha oui, tout de même mon papa.
- Oui, ma fille excuse moi ces précisions un peu longues, mais elles ont pour but de te déterminer la couleur exacte de ses cheveux.
Donc, avec un tel étalage d'option dans cette définition, tu sais parfaitement leur couleur.
Oui, un ton très spécial comme celle d'un homme né en mille huit cent soixante-dix-sept.
Oui, n'écoute pas ce que raconte mon tournevis soudanais pour fusée en kit Ukrainienne, il ment sur son âge.
Il fait partie de ces êtres qui vivent entre cent cinquante à cent quatre-vingts ans. Étant donné que la science ne sait toujours pas si ce sont des humains où des extraterrestres à cent ans l'administration les fait naître à nouveau.
Oui, ce fut le cas de mon irradié de la rotule travaillant dans une centrale vinuléaire chinoise pour courant Breton.
Oui, c'était suite à une visite chez le médecin. À l'époque, il ne mangeait que de la cuisine aux ondes qu'il faisait cuire dans un four micro-ondes.
Matin, midi, soir, quatre-heures, nuit, entre-nuit, jour, mi-jour, déjeuner, etc., il se cuisinait des ondes agrémentées d'une pincée de watts et une cuillère de volt de Dijon.
À force il était devenu électrique, et même tellement chargé en courant qu'il aurait pu servir de centrale pour alimenter une ville comme Taïwan ou New-York.
Pour se décharger, il parlait à l'orage et serait la main des éclairs. Ce fut ainsi qu'un jour qu'en parlant à son voisin celui-ci lui conseillait d'aller chez le médecin.
Celui-ci l'accueillit en lui disant bonjour jeune homme, que puis-je pour vous ?
Il expliquait son problème au spécialiste des globules bleu examiné par un laborantin d'occasion du grattez moi là.
Bon, je vois depuis combien de temps mangez vous des ondes.
Mais où Pépère voulait-il en venir encore une fois avec cette étrange histoire de cheveux et d'âge.
La suite demain...